"L'orpheline de Foundling" de Stacey Halls (Editions Pocket): pas foufou du tout!

Loin de mon univers de lecture habituel, ce roman aura au moins eu l'attrait de l'exotisme du roman en costumes, un brin suranné. Mais c'est à peu près tout!

Pitch (4ème de couv):
"Londres. 1747. Bess Bright, vendeuse sur le marché aux poissons de Billingsgate, voit se refermer derrière elle les grilles de l'orphelinat de l'hôpital de Foundling. La mort dans l'âme, elle y laisse Clara, son bébé. Un jour, elle s'en fait la promesse, elle reviendra la chercher.
Six ans plus tard, ayant économisé chaque penny, elle retourne à l'orphelinat pour retrouver son enfant qu'elle n'a jamais oubliée. Mais on l'informe que sa fille n'y est plus depuis longtemps, réclamé jadis par une femme se faisant passer pour Bess.
Pour découvrir qui lui a volé sa fille, il lui faudra passer la porte d'une grande maison bourgeoise de Bloomsbury, où une jeune veuve et sa fillette vivent en recluses au milieu de lourds secrets."


Peinture de Londres au dix-huitième siècle, L'orpheline de Foundling joue sur le romanesque d'une gamine abandonnée par une mère issue des bas quartiers qui va se retrouver à grandir dans une maison qui a tout d'une prison dorée dans le Londres bourgeois. 
Une histoire qui oscille dangereusement entre misérabilisme et bisounoursisme (laissez-moi en paix avec mes néologismes!) en essayant tant bien que mal de ne pas franchir les limites… jusqu'au dernier chapitre qui verse dans le n'en-jetez-plus-la-cour-est-pleine! Genre fin de téléfilm de Noël de TF1…

Bref: ce n'est définitivement pas ma came! Vite, au suivant! (et psst: ce sera Virginie Grimaldi)

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