"Hier encore, c'était l'été" de Julie de Lestrange (Editions Le Livre de Poche): à lire les pieds dans le sable

Roman sans prétention Hier encore, c'était l'été décrit le passage de l'adolescence à l'âge adulte, de l'innocence aux choix et responsabilités. De l'apprentissage de l'amour à l'apprentissage de la mort. 
Un bouquin passe-partout, à emmener justement partout pour une lecture sans prise de tête.


Pitch (4ème de couv):
"Alexandre, Marco, Sophie et les autres se connaissaient depuis l'enfance. Ensemble, ils ont grandi, en toute insouciance et en toute innocence. Mais, lorsqu'à vingt ans, la vie les prend, la chute est brutale.
En une décennie, cette jeunesse perdue mais pas désillusionnée va devoir se battre pour exister.
A travers les drames subsistent alors l'amitié, les fous rires et les joies. Et l'amour, qui les sauvera."



Débranchement de cerveau assuré lors de la lecture de ce roman qui glisse aussi facilement que Papadakis et Cizeron sur la glace. 
Une histoire comme il y en a mille. Qui n'arrache pas les tripes mais qui donne suffisamment d'émotions pour passer un agréable moment de lecture sans risquer de se faire un nœud au cerveau. Alexandre, Marco, Anouk et Sophie sont des personnages aux questionnements tellement universels qu'on y retrouve un peu de nous. Mais il manque un peu de relief à ces personnalités un brin trop lisses pour vibrer complètement. Une brochette de copains, bien sous tous rapports, et issus d'un milieu plutôt favorisé, dont les dérives et coups de gueules ne durent jamais bien longtemps et où il suffit d'un regard pour tomber amoureux... à la Hélène et les Garçons quoi! 

Un roman d'été, en somme, fait pour se détendre au soleil sur le balcon, à défaut de pouvoir immédiatement se détendre sur le sable chaud.

PS: sinon Julie de Lestrange, du coup,  c'est une Serpentard??? 😁😁😁

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