"Mamie Luger" de Benoît Philippon (Editions Le Livre de Poche): bouleversopilant!

Frais comme un gardon.
Emouvant comme un violon.
Drôle comme une bulle de savon. 
Savoureux comme une poêlée de champignon.
Ce roman regroupe toutes les qualités pour passer un moment de lecture inoubliable.
Et mérite une sacrée Baignoire d'Or. Foi de Berthe Gavignol!

Pitch (4ème de couv):
"Six heures du matin: Berthe, cent deux ans, canarde l'escouade de flics qui a pris d'assaut sa chaumière auvergnate.
Huit heures: l'inspecteur Ventura entame la garde à vue la plus ahurissante de sa carrière. La grand-mère au Luger vide son sac, et le récit de sa vie est un feu d'artifice. Il y est question de meurtriers en cavale, de Veuve Noire et de nazi enterré dans sa cave. Alors... Aveux, confession ou règlement de compte? Ventura ne sait pas à quel jeu de dupes joue la vieille édentée, mais il sent qu'il va falloir creuser. Et pas qu'un peu."


J'ai ri.
J'ai pleuré.
J'ai re ri.
J'ai re pleuré.
C'est bourré d'émotion. De leçons. De combats. De poésie.
C'est magnifié par une écriture qui débite en rafale des expressions à faire sourire ou à faire perler une larme au coin de l'œil.
C'est à lire absolument. Enormément. A la folie.
Je me suis prise une balle de Luger d'amour en plein cœur. Pour Ventura, pour Berthe, Pour Luther.
Merci, Monsieur Philippon, pour tant d'humanité si bien racontée.

Commentaires

Articles les plus consultés