"Les poupées" d'Alexis Laipsker (Editions Michel Lafon): davantage convaincue par cette deuxième rencontre

Après une énorme déception lors de ma première plongée dans l'univers Laipsker avec son premier roman Et avec votre esprit, je suis finalement contente d'avoir persévérée avec Les Poupées. Un polar qui fait le job et donne envie de poursuivre l'aventure!

Pitch (4ème de couv):
""Ils diront que je suis fou. Que je tue pour jouer. Vous seuls connaîtrez mon secret. Mais êtes vous prêts? Jouez avec moi!"
Une voyante en crise.
Un flic bourru comme on en fait plus.
Une jeune psy à qui on ne la fait pas.
Une série de meurtres à la mise en scène macabre.

Une course contre la montre terrifiante."

A la mode page-turner, une méthode qui a fait ses preuves pour maintenir le lecteur dans un état de suspense soutenu, Les poupées fait dans l'efficacité. Impossible de s'ennuyer une seconde, même si, pour ma part, j'avais commencé à déceler le loup dans la bergerie assez tôt… (appelez-moi Sherlock!). 

Au-delà du côté enquête, j'ai surtout été emballée par la gouaille du commissaire Venturi et le duo qu'il forme avec Menthe-à-l'eau, la psychocriminologue. Des réparties bien senties et quelques révélations qui donnent envie d'aller plus loin avec eux.

Alors, comment lutter pour ne pas aller de ce pas se procurer leur deuxième aventure, Hurlements, sortie en début d'année? Vais-je pouvoir résister jusqu'aux Quais du Polar 2024 pour le faire dédicacer? Suspense… (oui, moi aussi je sais faire! en moins bien)