"L'Hallali" de Nicolas Lebel (Editions Le Livre de Poche): et ça fait clic clic-clic pan-pan-pan

L'Hallali sonne la fin de la trilogie des Furies. Mais quelle fin!!! Un véritable bouquet final d'action et de rebondissements. 

Ju-bi-la-toire!

Pitch (4ème de couv):

"Les Furies, ces tueurs à gages sans foi ni loi, sont de retour dans la vie d'Yvonne Chen. Alecto, leur chef, lui propose de participer à l'une de leurs danses: deux frères se disputent un prestigieux vignoble et il ne doit en rester qu'un. Chen, désormais agent infiltré de la DGSI, y voit l'occasion rêvée de piéger ces assassins. Lancée dans un jeu de faux-semblants au cœur d'un hiver glacial, elle va devoir décider de quoi elle se fera l'instrument. La justice ou bien le châtiment?"

Dernier tome qui verse définitivement dans la catégorie espionnage du genre polar, cet Hallali est le théâtre de rebondissements à faire dérailler un cœur de sportif. Une chasse à l'homme millimétrée du côté du chat, comme celui de la souris… Mais qui traque qui? 

Dans ce hui clos glacé, celle qui fera pencher la balance est l'imprévisible Yvonne Chen. Mais difficile de choisir sereinement en étant cernée de caméras et d'explosifs.

Un roman rudement efficace qui a tous les atouts pour séduire un lectorat qui aime perdre la tête avec des twists et des écrans de fumée. Et qui aime trembler… jusqu'aux dernières pages!

Mon seul regret? La fin du voyage aux côtés d'Yvonne. 

Vraiment, Monsieur Lebel? Pas moyen d'en remettre une couche?