"Le crime (histoire d'amour)" d'Arni Thorarinsson (Editions Points): heureusement, le roman était court

Comment passer en quelques heures du plus lumineux des bouquins (cf chronique précédente) au plus chiant et sombre? En ouvrant un roman de Mr Arni Thorarinsson!  Allez, cette fois c'est la der. Plus jamais on ne m'y reprendra!

Pitch (4ème de couv):
"Avant ils étaient heureux, une famille heureuse, et puis ils l'avaient appris et leur vie était devenue un enfer. Ils ont tout caché, surtout pour leur fille. Mais ils se sont engagés à lui parler le jour de ses dix-huit ans. Tous les trois, ils ont attendus ce moment et craint son arrivée. La mère veut tenir la promesse. Le père doute que la vérité les libère du cauchemar. La fille se révolte, essaie de survivre, de les tenir à l'écart. Elle les hait autant qu'elle les aime..."



ATTENTION SPOIL!!! (au cas où certains masochistes voudraient quand même vraiment le lire)
Je vais vous la faire courte. Le secret du père et de la mère? Ils sont frère et sœur mais ne l'ont appris qu’après la naissance de leur fille. Ça vous en bouche un coin, hein?
Le problème du roman? Ce n'est pas tant cette idée de départ qu'en faire une histoire dépressive à souhait et péniblement écrite à mourir. 
Fuyez!

(Faudrait p'être que je pense à une récompense spéciale pour mes lectures catastrophiques. Une Baignoire de Plomb? Une Baignoire Percée? Une Coupure d'Eau? ...)

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